Un courtier en prêts immobiliers recherche de crédits au nom de ses clients. En tant qu’intermédiaire dans les services bancaires et de paiement (IOBSP), il est lié à son client par l’obligation de orientation et impartialité . Si elle est payée de la même manière par toutes les banques et les sociétés de crédit, il peut être gratuit ou payant .
Plan de l'article
Coût d’un courtier en prêts immobiliers
Certains courtiers immobiliers sont gratuits, d’autres facturent des frais de dossier allant de quelques centaines d’euros à 1% du montant emprunté.
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En tout état de cause, la livraison de l’agence de courtage est négociable. En outre, la loi interdit à un IOBSP de demander un paiement avant que le prêt n’a pas été crédité au compte de l’emprunteur.
En clair, le client ne paie rien s’il n’accepte aucune des offres recueillies par le courtier immobilier. Ce dernier a donc intérêt à apporter propositions intéressantes pour lui.
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Par souci d’impartialité, les IOBSP sont payés de la même manière par toutes les banques et sociétés de crédit. Ils reçoivent 0,5 % du montant du crédit obtenu par leurs clients.
Far info : la livraison des courtiers de remboursement de crédit peut s’éliter à quelques milliers d’euros. La raison en est que le montant des dettes à rembourser est souvent inférieur à celui d’un prêt immobilier conventionnel.
Meilleurs tarifs du courtier
Le courtier en prêts immobiliers signe des partenariats d’affaires avec plusieurs banques . Ces derniers leur envoient leurs échelles de taux d’intérêt, en fonction de la situation professionnelle, personnelle et financière du candidat emprunteur.
Ils savent que le courtier leur concurrencera en comparant toutes ces échelles et les conditions qui leur sont associées. Ils veillent donc à ce qu’ils fournissent un taux d’banque inférieur à celui qu’un particulier obtiendrait directement de sa propre banque.
Quand un emprunteur candidat passe par un courtier de prêts immobiliers, il changer de banque . Il représente une nouvelle clientèle pour laquelle les agences sont prêtes à déployer le tapis rouge, de plus, la loi peut exiger qu’elles lui accordent des avantages personnalisés.
Pour information : en janvier 2021, la moyenne était de 0,95 % sur 15 ans, de 1,07 % sur 20 ans et de 1,33 % sur 25 ans (source : publication de l’Observatoire CSA/Crédit Logement Février 2021 ).
L’emprunteur peut refuser l’offre de prêt
Le choix d’un contrat de prêt immobilier appartient uniquement au client. Il a donc le droit de refuser toutes les propositions qu’un courtier lui apporte, sans avoir un seul sou à payer.
Mais les refus sont rares, car un bon courtier prendra le temps de s’engager avec son client afin d’identifier leur besoins . Il le conseille sur certaines clauses du contrat qui lui permettront d’exécuter son projets . Dans la pratique, le courtier et son client s’accordent sur l’architecture du contrat (prélèvement de pénalités, modularité des délais, frais de dossier…).
Ce service de conseils personnalisés fait toute la différence entre un courtier immobilier et le conseiller à la clientèle d’une banque. Le premier agit pour les intérêts de son client, le second pour celui de sa marque.
Pour information : selon le Registre unique des intermédiaires bancaires et financiers d’assurance (ORIAS), en 2019, 32 057 courtiers opéraient dans les opérations bancaires et les services de paiement.
Le courtier peut-il obtenir un prêt à tout le monde ?
Le courtier de prêt immobilier ne pas de miracles . Il ne peut soumettre le dossier du client que si le client remplit les conditions demandées, et uniquement dans le cadre de la loi.
Par conséquent, il ne sera pas en mesure d’obtenir du financement dans certains cas, notamment :
- Le demandeur est de la Banque de France ou déclarée dans un état de surendettement.
- Le revenus du demandeur sont insuffisantes aux yeux des prêteurs.
- Le demandeur est souvent découvert.
- Le situation la profession professionnelle du demandeur n’est pas suffisamment durable.
Enfin, un courtier en prêts immobiliers ne peut pas faire de procédure auprès de la banque de son client. Il doit généralement attendre 90 jours avant de démarrer une banque déjà solliciter par son client.